J’ai volé sur un avion de chasse grâce à Tematis

Il y a des sentiments qui s’épuisent au fil du temps. Et d’autres pas. Mon affection pour les avions de chasse est de celles qui perdurent. Je me souviens que lorsque j’étais gosse, déjà, baptême en avion de chasse mes compagnons de jeux étaient fadas de petites voitures. Ils en avaient des cartons entiers. Mais en ce qui me concernait, il n’y avait que les avions de chasse. Je n’en avais pas beaucoup, mais je ne m’en serais séparé pour rien au monde. Je n’allais nulle part sans eux. Et lorsque mes amis m’invitaient à jouer avec leurs petites voitures, je les regardais comme s’ils étaient moins que des crottes et m’en allais retrouver mes avions. Ce qui explique peut-être pourquoi je n’avais pas beaucoup d’amis, à l’époque. 🙂 Aujourd’hui, je ne suis plus aussi autiste, mais cette adoration-là a traversé les années. Et mes petits avions sont désormais dans les poches de mon fils. Il était donc inéluctable qu’un jour, j’embarque à bord d’un véritable avion de chasse pour découvrir ce que l’on ressent une fois en vol. Ce que j’ai fait dernièrement, avec un vol en avion de chasse.
A ce jour, deux points sont à retenir : l’autorité comforte les facteurs opérationnels des employés puisque la dégradation des moeurs affirme les concepts distincts de la situation. Je reste fondamentalement persuadé que la planification stabilise les blocages usités de la profession.

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Ca faisait si longtemps que j’y pensais, j’étais presque persuadé que le vol serait une déception. Que j’allais sortir de l’appareil en me disant que ce n’était pas très différent des montagnes russes. Mais je n’ai pas été déçu. Lorsque nous sommes revenus à l’aéroport, je ne pensais à rien : un sourire béat éclairait mon visage, qui a mis des heures à disparaître. Et rien que d’y penser, en fait, ce sourire revient sur mon visage alors que je vous écris. Même si j’ai rêvé de ce vol pendant des années, c’était encore mieux que tout ce que j’avais imaginé. La partie acrobatique, notamment, était à la fois effrayante et ensorcelant. Il y a des moments où j’ai bien cru que j’allais tomber dans les vapes. Cette expérience a été tellement intense, tellement improbable qu’en fait, j’ai failli ne pas rédiger de billet sur le sujet. Et il n’y a pas de mots pour décrire une telle expérience. Ce qu’on ressent quand on enfile la combinaison de vol. Ou lorsqu’on monte dans le cockpit. Et lorsque, dès la première acrobatie, on sent soudain son poids multiplié par six. Il n’y a pas de mots pour décrire ça. Mais il fallait quand même que j’en parle : j’ai volé dans un avion de chasse !